“Jeune violoncelliste en pleine ascension, Christian-Pierre La Marca ose les Suites de Bach avec un certain aplomb et met d’emblée les amateurs de belles sonorités de son côté : basses veloutées ou claquantes, médium onctueux, aigus diaphanes, jamais sifflants. (…)Au fond il y a une réelle spontanéité dans cette interprétation, témoignant d’un formidable potentiel et d'une technique déjà parfaite. Pas le moindre accroc, des attaques fermes, des doubles-cordes puissantes, une main gauche libérée. Beaucoup de promesses.”
Diapason
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“Christian-Pierre La Marca sait laisser les suites se déployer dans les cordes, s’emparer de son instrument et organiser leur large respiration harmonique que troublent à peine de menus ornements lors des reprises. La sûreté de l’archet, la pureté de l’intonation, la tenue de la ligne et le refus de pose mènent l’auditeur directement au cœur du mystère de l’indicible. (…) Qu’il le fasse chanter ou danser avec la grâce d’un funambule, Christian-Pierre La Marca obtient de son Stradivarius de 1725 une expression toujours articulée et claire que magnifie la prise de son naturelle. C’est l’heure exquise. Deux heures même.”
Classica
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“Les suites pour violoncelle, nous les avons entendu cent fois mais là c’est vraiment un son d’aujourd’hui qui sort de cet album, un son très plein qui permet aussi d’entendre le musicien respirer en musique. On a l’impression d’être véritablement au cœur de l’instrument !”
RTL
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“La sonorité du violoncelliste Christian-Pierre La Marca est de celles qui parlent et chantent immédiatement. Il y a aussi un sens souverain des équilibres, une sorte de classicisme naturel qui rend vaine toute querelle de style. Et tout cela à 29 ans, dans la bible des violoncellistes ! Le culot appuyé sur l’humilité, c’est ce qui caractérise cette nouvelle étoile de l’école française de violoncelle : les quadragénaires Queyras, Coppey, Demarquette, Philips n’ont qu’à bien se tenir, voici aujourd’hui le magnifique La Marca.”
